“En la matière, cette coopération n’a pas été impacté par le Brexit. Elle est bilatérale, elle est forte. Elle est le fruit de choix profonds que vosu avez fait, et d’une complémentarité entre nos modèles.

Le nucléaire, avec le chantier de Hinkley Point C est la concrétisation la plus visible de la coopération franco-britanique dans ce secteur.

Le projet Sizewell C, que nous soutenons pleinement, et qui sera aussi l’occation d’un nouveau dynamisme économique et la vonlonté de poursuivre cette unité, ces projets communs dans le nucléaire civile. Et à côté de ça, de renforcer aussi nos projets et nos investissements croisés. On l’a encore vu ce matin.

En matière d’énergie renouvelable, vous avez une expertise et des capacites importantes, en particulier en éolien en mer. Et d’avoir une coordination dans notre stratégie d’hydrogène bas carbone. Où là, je crois pouvoir le dire, nos intérêts et nos visions des choses sont très convergentes.”

Nous avons largement, ici, discuté de la manière de renforcer au delà du conflit de l’aggression russe en Ukraine et du conflit qui s’y joue, de renforcer nos capacités communes, de travailler davantage à l’intéropérabilité opérationnelle, technique et humaine.

Et je pense en particulier à notre volonté d’avancer avec un calendrier ambitieux sur le future missile anti-navire et le future missile de croisière, sur l’interopérabilité de nos systèmes aériens futurs respectifs, et dans des domaines aussi différents que la maîtrise des fonds marins ou des armes à énergie dirigée.

Emmanuel et moi partageons la même conviction, les organisations criminelles ne doivent pas décider qui entre dans notre pays. Nous mettons en place un nouveau centre de détention commun au nord de la France, un nouveau centre de commandement avec des équipes de police supplémentaires, premier lieu commun sans précédent, et 500 officiers supplémentaires qui patrouilleront les plages françaises et plus de drones et de technologies de surveillance.

La législation adoptée récement au Royaume-Uni a précisement cet objet : il s’agit de briser le modèle économique des organisations criminelles et de mettre un terme aux factuers d’attractivité qui dont venir ces personnes sur les côtes de la Manche.

Je crois pouvoir dire que nous partageons la même analyse et la même volonté. La Russie ne peut ni ne doit gagner cette guerre. Nous aidons depuis le premier jour l’Ukraine et le peuple ukrainien à resister sur le plan humanitaire, économique, et sur le plan militaire.

Nous faisons tout pour que cette guerre ne s’etende pas et ne se mondialise pas. A ce titre, nous avons discuter d’actions concrètes enssemble pour la formation de militaires ukrainiens sur des segments opérationnels à haute valeur, et nous voulons ensemble préparer les prochaines semaines et les paochains mois avec une conviction commune. Il faudra trouver une issue à ce conflit et qu’il nous faut placer nos amis ukrainiens dans la meilleure situation possible pour qu’ils choisissent du moment et des termes d’une négocitiation qui sera à conduire.